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              octobre 2010 | 14 
              Hechvan 5771 | Si 
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            |  | Edito 
                de Joël Mergui, Président du Consistoire "Pour 
                un service civique communautaire" La 
                proximité de la communauté juive de France avec 
                Israël s’amplifie d'année en année et 
                nous impose une profonde réflexion sur notre identification 
                à nos frères israéliens et à leur 
                vie. La semaine passée, la paracha « Lekh Lekha » 
                nous a rappelé le lien originel du peuple juif avec la 
                terre d'Israël. Pendant près de 10 ans, j'avais pris 
                pour habitude d'organiser avec l’Agence Juive, ce chabbat 
                Lekh Lekha dans plusieurs communautés de France pour rappeler 
                ce lien avec Israël. Chabbat dernier, dans la communauté 
                de Cachan, le chabbat « Lekh Lekha » était 
                dédié à la mémoire de Yohann Zerbib 
                (zal), jeune Français ayant décidé de faire 
                sa « alyah » et tombé tragiquement pendant 
                la guerre du Liban. Paroxysme dramatique du dévouement 
                et de l'engagement ! À côté de lui, ce sont 
                de nombreux jeunes, mus par cet idéal profond, qui ont 
                décidé de consacrer une partie de leur jeunesse 
                - 3 ans lorsqu'ils font leur service militaire - à la terre 
                d'Israël et donc, au peuple juif. Les olim consacrent ensuite 
                tous les ans, dans le cadre de ce qu’on appelle les « 
                milouim », plusieurs semaines à la terre d’Israël 
                et au peuple juif. Ce constat est un des moteurs de mon engagement 
                au service de la communauté et certainement celui de nombre 
                de militants de la communauté juive dans le monde. Notre 
                communauté manque cruellement de moyens pour atteindre 
                et réaliser les nombreux défis auxquels nous sommes 
                confrontés pour faire vivre le judaïsme en France. Le 
                judaïsme français et de façon générale 
                le judaïsme diasporique est le flux nourricier potentiel 
                d’Israël. Son développement est un apport considérable 
                aussi pour Israël. Il est fondamental de contribuer à 
                le maintenir, à le renforcer et à éviter 
                sa dilution. Ainsi, 
                à l'instar de celles de nos familles qui consacrent une 
                partie de leur vie, voire leur vie à Israël et au 
                peuple juif, n’est-il pas du devoir de chaque Juif de France 
                de consacrer une partie de son temps, de ses compétences, 
                de ses connaissances, à l'avenir de sa communauté 
                ? Et ce, de façon organisée et structurée 
                dans une forme de service civique. Sans risquer sa vie, comme 
                ceux qui prennent les armes pour défendre la terre d’Israël, 
                il sera simplement question de participer au destin collectif 
                de notre peuple, et de contribuer à rapprocher de notre 
                identité ceux qui s’en éloignent.  Quelles 
                que soient nos convictions religieuses, nous avons tous conscience 
                que nous avons un destin commun qui doit nous concerner tous. 
                Et pas seulement en période de crise.Combien 
                de personnes réagiront à cet appel et viendront 
                rejoindre les milliers de militants qui, au quotidien, se dévouent 
                pour faire exister la communauté juive de France ?
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            |  |  | Extrait 
                du journal Actu J n°1136 du 21 octobre 2010 |  |  | 
     
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            |  | Formation 
                des aumôniers israélites hospitaliers Une 
                formation initiale des aumôniers israélites hospitaliers, 
                organisée par le Rabbin Mikaël Journo, aura lieu prochainement 
                et portera à la fois sur la question de l’éthique 
                médicale hospitalière et sur l’aspect religieux 
                lié à l’accompagnement des patients.
 Elle sera placée sous l’autorité du Professeur 
                Emmanuel Hirsch, Directeur du Département en éthique 
                à l’Université Paris-Sud 11.
 
 L’aspect halakhique et religieux sera étudié 
                sous l’égide de Gilles Bernheim, Grand Rabbin de 
                France et de Michel Guggenheim, Grand Rabbin, Directeur du Séminaire 
                Israélite de France.
 
 Cette formation a, notamment, pour objectif de permettre aux aumôniers 
                de se familiariser avec le monde de l’hôpital et de 
                ses problématiques. Nous souhaitons, qu’à 
                moyen terme, les aumôniers, bien conscients de leur mission, 
                professionnalisent l’approche des patients israélites 
                et de leur famille.
 Voir 
                le programme (en pdf)
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                Cérémonie 
                  d’installation du nouveau rabbin de la synagogue Ora Vesimha Le 11 octobre 2010, s’est déroulée la cérémonie 
                  d’installation du nouveau rabbin de la synagogue Ora Vesimha 
                  (rue des Trois Bornes), synagogue associée au Consistoire 
                  de Paris.  
                Comme l’a souligné le Président Claude Farruch, 
                la synagogue n’a jamais autant mérité son 
                nom Ora (lumière) Vesimha (joie). En 
                effet, l’installation du jeune rabbin Michaël Daltroff 
                s’est déroulée en présence du Grand 
                Rabbin de France Gilles Bernheim, lequel avait approuvé 
                sans réserve sa nomination dans cette synagogue ainsi que 
                du Grand Rabbin de Paris David Messas, du Président du 
                Consistoire de Paris Joël Mergui, du Député 
                Maire Monsieur Patrick Bloche, du Commissaire Central Monsieur 
                Cardy et d’autres personnalités.  Les 
                200 personnes réunies ont pu apprécier le dynamisme 
                du Rabbin auquel, a été confiée la mission 
                principale d’assurer le devenir de la Communauté. 
                C’est ainsi qu’un Talmud Torah a été 
                ouvert dès la rentrée de septembre et que de nombreuses 
                conférences et animations sont organisées dans cette 
                belle synagogue fondée au retour des rapatriés d’Algérie 
                pour retrouver les traditions et l’ambiance ancestrales.  Le 
                jeune Hazan Gabriel Elmkies a pour la circonstance quitté 
                la Teba pour diriger magistralement un orchestre qui a contribué 
                à la Simha de cette soirée mémorable qui 
                restera définitivement inscrite dans le cœur de chacun 
                et dans les murs de la synagogue. |  |  | 
     
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            |  | Le 
                SPCJ fête ses 30 ans 
 Dimanche 
                17 octobre, le SPCJ a fêté ses 30 ans, entouré 
                des trois grandes institutions communautaires à l’origine 
                de sa création : le CRIF, le FSJU et les Consistoires. Comme 
                l’indique son site internet (www.spcj.org), 
                le SPCJ a pour mission la protection de la communauté juive 
                dans sa vie quotidienne, qu’elle soit cultuelle ou culturelle, 
                et de coordonner ses actions avec les pouvoirs publics pour une 
                meilleure efficacité. Créé 
                au lendemain de l’attentat de la rue Copernic, le SPCJ lutte 
                au quotidien contre la menace antisémite et terroriste. Le 
                Président du SPCJ, M. Eric de Rothschild, a rappelé 
                au cours de la soirée l’histoire et les moments forts 
                de cette organisation, structurée et conduite par un homme 
                exceptionnel : M. Pierre Kauffmann, qui fêtait le même 
                soir ses 90 ans. M. 
                Richard Prasquier, Président du CRIF, a ajouté que 
                Pierre Kauffmann était un "exemple à suivre 
                pour la Communauté", "son action et sa présence 
                restent indispensables à nos organisations". Le 
                Président du Consistoire, Monsieur Joël Mergui a rappelé 
                que "le SPCJ assure la tranquillité des fidèles 
                durant les offices, dans toute la France", et que "s’il 
                n’y a pas de judaïsme sans synagogue, il n’y 
                a pas de synagogue sans le SPCJ et qu’il n’y a donc 
                pas de judaïsme sans le SPCJ". Il a ajouté que 
                le SPCJ a 30 ans, Pierre Kauffmann a 3 fois 30 ans et que, selon 
                la tradition, il souhaite à ce "militant exceptionnel" 
                de vivre en bonne santé jusqu’à ses 4 fois 
                30 ans. Joël Mergui a félicité Eric de Rothschild 
                pour la simplicité exemplaire dont il a toujours fait preuve. Pierre 
                Besnainou a rendu hommage au SPCJ, qui "fait sans dire" 
                quand tant d’autres "disent sans rien faire", 
                ainsi qu’à son fondateur, Pierre Kauffmann qui reste 
                son guide et sa principale source d’inspiration.. Pierre 
                Kauffmann a cité et remercié chaque Directeur qui, 
                depuis 30 ans, par son dévouement, a contribué à 
                faire du SPCJ un interlocuteur reconnu et respecté des 
                pouvoirs publics pour toutes les questions liées à 
                la sécurité des biens et des personnes juifs. Cette 
                soirée de retrouvailles a permis à chaque génération 
                de volontaires d’échanger et de maintenir le lien 
                intergénérationnel qui fait la force du SPCJ, la 
                majorité des jeunes bénévoles présents 
                n’étant pas née lors de sa création. Le 
                prix Simon Wiesental a été remis à Pierre 
                Kauffmann ainsi qu’au Directeur du SPCJ pour leur implication 
                dans la lutte active contre l’antisémitisme. |  |   
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            |  | Le 
                Maguen David Adom fête ses 80 ans avec Shlomo Artzi 
 Lundi 
                18 octobre 2010, au Palais des Congrès, le Maguen David 
                Adom a fêté ses 80 ans en présence des plus 
                hautes personnalités de la Communauté Juive, dont 
                le Grand Rabbin de France, Gilles Bernheim, le Président 
                du Consistoire Joël Mergui, le Ministre Plénipotentiaire 
                Sammy Ravel et le Président du CRIF Richard Prasquier, 
                Nicole Guedj et Gil Taieb.  Le 
                Directeur Général du MDA en Israël, venu spécialement 
                pour l’occasion, a présenté quelques unes 
                des plus belles réalisations du MDA, tant en Israël 
                qu’auprès des populations sinistrées partout 
                dans le monde. 
                 
                  |  | Le 
                      Docteur Lazare Kaplan, Président du MDA France, a 
                      rappelé le rôle de la communauté juive 
                      de France dans son soutien fidèle et indéfectible 
                      à cette grande cause. Cette 
                      solidarité et cette générosité 
                      ont pu être confirmées sur place, le soir même, 
                      par un appel de don exceptionnel auprès du public 
                      pour envoyer dès le lendemain une ambulance en Israël. |  La 
                soirée s’est poursuivie par un concert très 
                attendu de Shlomo Artzi, qui a transporté la salle comble 
                du Palais des Congrès au rythme de ses mélodies. Un 
                invité "surprise", Patrick Bruel, a rejoint Shlomo 
                Artzi pour un duo en hébreu, devant un public conquis. |  |   
            |  | © 
                Photo Alain Azria |  |  | 
     
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                  |  | Gel, 
                    dégel, regel, … par Philippe Meyer*
 |  Cela 
                faisait bien longtemps que les pressions américaines n'avaient 
                pas été aussi fortes pour parvenir à un accord 
                de paix israélo-palestinien définitif. Le président 
                Obama y met tout son poids et fait jouer toute son influence, 
                à l'image de forcings déjà maintes fois observés 
                dans le passé de la part d'un locataire de la Maison blanche 
                sur les acteurs directs de la région. Ballet diplomatique, 
                envoi d'émissaires de toutes sortes, discussions directes 
                et indirectes, publiques et secrètes, tout l'arsenal bien 
                connu des outils de négociations est mobilisé avec 
                un effort intense de l'utiliser au maximum. Jusqu'à la 
                fameuse lettre adressée récemment par le président 
                américain au Premier ministre israélien, une lettre 
                non officielle mais dont le contenu a été dévoilé 
                sur un site internet américain par un proche conseiller 
                du président Obama et qui n'a pas été démenti 
                par la suite par les deux parties concernées.  Comme 
                c'est le cas pour la plupart des négociations/discussions/pressions 
                en cours, cette lettre est d'abord basée sur la question 
                du gel des constructions israéliennes dans les territoires, 
                le président Obama demandant expressément à 
                Benjamin Netanyahu de reconduire leur moratoire de deux mois. 
                En échange de quoi les Etats-Unis s'engagent à plusieurs 
                garanties essentielles pour la sécurité et l'avenir 
                même de l'Etat d'Israël : aucun vote de résolution 
                contre Israël à l'ONU, maintien de Tsahal dans la 
                vallée du Jourdain pour une période non précisée 
                pouvant aller au-delà de l'accord de paix, droit d'Israël 
                d'assurer sa sécurité, embargo sur tout type d'arme 
                à destination du futur Etat palestinien qui menacerait 
                cette sécurité, accentuation de l'ide militaire 
                américaine, accès aux dernières technologies 
                militaires, discussions avec les pays arabes sur un consensus 
                régional vis-à-vis de l'Iran.  De 
                tels engagements sont probablement les plus forts avancés 
                par les Etats-Unis depuis bien longtemps. La seule compensation 
                demandée a été le gel des implantations pendant 
                soixante jours dans les mêmes termes que les dix mois écoulés. 
                 On 
                comprend les raisons de ce forcing des américains. D'une 
                part, dans un climat très difficile où tout acte 
                compte, l'acceptation par Israël de poursuivre le gel des 
                constructions, même pendant une courte période, pourrait 
                constituer un argument important pour Mahmoud Abbas à destination 
                de son aile radicale, alors que les garanties apportées 
                par les Etats-Unis pour la sécurité d'Israël 
                pourraient fournir à Benjamin Netanyahu les arguments nécessaires 
                face à ses alliés les plus exigeants. D'autre part, 
                les élections du 2 novembre prochain au Congrès 
                américain s'annoncent très difficiles pour un président 
                Obama de plus ne plus isolé. Il a vu plusieurs de ses plus 
                proches quitter le navire et il risque fort de perdre sa majorité 
                absolue dans les deux chambres. Un succès diplomatiques 
                de cette ampleur à la veille du scrutin constituerait une 
                aide majeure. Enfin, après de longues années de 
                blocage, la voie du forcing peut être tentée pour 
                créer l'électrochoc nécessaire… comme 
                cela a déjà été le cas par le passé 
                sans succès.  On 
                comprend également les raisons de la prudence des Israéliens 
                qui, pour l'heure, n'ont pas apporté de réponse 
                officielle à cette lettre tout en s'engageant à 
                poursuivre les négociations avec les Palestiniens. D'une 
                part, le calendrier israélien n'est pas sujet aux mêmes 
                urgences ni aux mêmes impératifs. Au vu des enjeux 
                vitaux en présence, le temps de la réflexion doit 
                être pris avec sérénité et recul. D'autre 
                part, la dialectique palestinienne, basée sur le double-langage 
                et les reniements, a déjà été suffisamment 
                dangereuse dans le passé pour ne plus retomber dans les 
                mêmes pièges d'une confiance trop rapidement accordée. 
                Enfin, concernant ce débat récurrent des territoires 
                contre la paix, dans lequel s'inscrit cette lettre américaine, 
                toute concession acceptée par les Israéliens sur 
                le premier point doit évidemment être accompagnée 
                d'un acte fort du coté palestinien sur le second.  Et 
                les occasions malheureusement ne manqueraient pas pour l'Autorité 
                palestinienne et son chef de faire le geste qu'il faut : pressions 
                pour la libération de Gilad Shalit, pressions pour un arrêt 
                des assassinats de juifs dans les territoires, pressions pour 
                un arrêt des tirs de roquettes dans le sud, pressions pour 
                un arrêt du boycott des produits israéliens par les 
                pays arabes, pressions pour un arrêt de l'éducation 
                de la haine, Or force est de constater qu'on ne voit rien venir 
                de ce coté-là. Il faudra avant tout que l'Autorité 
                palestinienne fasse preuve d'actes forts et clairs, bien au-delà 
                de certaines rencontres médiatiques qui ne peuvent en rien 
                se substituer aux décisions qui devront être prises 
                sur le terrain pour arrêter la violence contre Israël. 
                 La 
                paix ne se fera pas uniquement à deux, avec les Etats-Unis 
                et Israël, mais bien à trois. Les pressions américaines 
                se justifient, la prudence israélienne se comprend, les 
                actes palestiniens sont attendus. Le gel des constructions pour 
                un dégel de la situation ? Cela ne suffira pas pour éviter 
                un regel des négociations.  |  |   
            |  |  |  |   
            |  | *Directeur 
              de la publication | Extrait 
                du n°305 - Octobre 2010 |  |  | 
     
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              LAURENT DU VAR Un nouveau Sefer Torah a été inauguré dimanche 
              17 octobre, par le Grand Rabbin de France, Gilles Bernheim.
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                  | Entrée | 18h30
 | 18h26 | 18h25 | 18h42 | 18h18 | 18h09 | 18h32 | 18h48 |   
                  | Sortie | 19h34
 | 19h27 | 19h27 | 19h42 | 19h19 | 19h13 | 19h33 | 19h49 |   
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