Le 4 avril 2017,  Sarah Halimi (zal) était séquestrée, torturée et assassinée chez elle dans le 11e arrondissement de Paris, en pleine nuit, par un voisin aux cris d’Allah Akbar.

Un an après la cruelle disparition de Mme Sarah Halimi -la circonstance aggravante d’antisémitisme enfin retenue au terme d’un long marathon judiciaire-, la séquestration, la torture et les actes de barbarie n’ont toujours pas été reconnus par la Justice, contre toute évidence.

A la lumière des faits et des nombreux témoignages, la famille et le Consistoire, constitués partie civile, œuvrent pour la reconnaissance du caractère prémédité du meurtre et la requalification de l’homicide volontaire en assassinat par défenestration précédé de séquestration, torture et actes de barbarie.

Une bougie a été allumée en sa mémoire, mercredi 28 mars dernier à la Synagogue des Tournelles, lors de l’hommage rendu à Mireille Knoll (zal) assassinée elle aussi par un voisin antisémite dans le 11e arrondissement de Paris.

Nous pensons à elles.


 

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